Synthèse sur le trouble de personnalité borderline, état limite (*). Same page in english / Meme page en Anglais


Traits de caractères et comportements fréquemment présents chez les personnes souffrant d'un trouble borderline ou d'état limite.


Note:
Bien que toutes ces personnes aient à divers degrés des problèmes de gestion de leurs émotions, de leurs relations avec autrui ou de comportements impulsifs « caractéristiques », certains comportements comme par exemple l’automutilation et les tentatives de suicide ne seront présents que chez les personnes les plus en détresse ou extériorisantes...


Introduction:

Le trouble borderline est un trouble de la personnalité aux multiples facettes.
De plus il peut plus ou moins ressembler à d'autres troubles, par exemple au trouble bipolaire, mais aussi avoir des comorbidités avec d'autres pathologies.

Par exemple il est fréquent de souffrir à la fois d'un trouble borderline et d'une dépression ou de souffrir de trouble borderline et de boulimie ou de trouble borderline et d'automutilation.


Synthèse:


Information
Voir
Le trouble de la personnalité borderline est une vraie maladie répertoriée et largement étudiée, pas un mythe ni un "délire" de psychiatre ou un diagnostic "poubelle", il doit donc être pris très au sérieux. Cette maladie est fréquente environ 3% de la population et concernerait 10% à 14% des "maladies de l'esprit"
- Test trouble borderline en 13 points
 
- Le droit à la maladie
 
- Droit au diagnostic et à l'information
 
- Définitions officielles
 
- Trouble ou maladie ?
 
- Pas un mythe, chiffres
 
- Diana Lady Di.

- Ouf ! Pas la seule ! et


- Vous dites n'importe quoi !


- "Sceptique"


- DSM-IV - CIM-10

Dans l'échelle des maladies mentales, c'est une maladie grave entre la névrose et la psychose (définition psych-analytique "historique" et "dépassée") mais qui se soigne
-
Article médical sur le trouble


-
Autre article


- Gravité selon le ministre français de la santé


- Gravité (par la TARAAPD)


- Interviews de spécialistes


- Schizophénie et état limite

- Névrose


- Psychose

Quasi 90% des malades souffrant d'un trouble de la personnalité Borderline sont aussi diagnostiqués avec un autre trouble de la personnalité ou une maladie mentale sérieuse. Par exemple schizotypique, histrionique ou dépendante
- Les troubles de personnalité

- Schizotypique

- Dépendante

- Evitante

- Histrionique

- Statistiques
L'erreur de diagnostic, ou plutôt un diagnostic incomplet semble hélas courant, semble-t'il par un manque de formation des psychiatres et thérapeutes aux progrès récents dans ce domaine. Le problème est que par exemple ne prescrire que des neuroleptiques de façon prolongée à un patient Borderline semble "quasi criminel", cela ne fait que détériorer ou masquer son état (en règle générale car il existe des exceptions). Pratiquer une psychothérapie "traditionnelle" est souvent voué à l'échec et parfois dangereuse, le patient n'étant parfois pas "apte" à recevoir certaines informations de son passé (lien avec son hypersensibilité)
- Dépression ?


- Stress post trauma ?


- Trouble Bipolaire / maniaco-depression ?


- Dysthymie ?


- Angoisse généralisée ?


- Autre trouble ?


- Déficit d'attention ?


- Asperger ?


- Pervers narcissique ?

- Signes alarmants


- J'ai "tout" eu


- Qui consulter


- Médication


- Thérapie


- Neuroleptiques

Les personnes avec un trouble de la personnalité Borderline ont un problème de gestion de leurs émotions, elles souffrent notamment de sautes d’humeur (haut et bas) fréquentes, intenses et imprévisibles. C'est un peu comme si ils étaient dans leur voiture mais que ce sont leurs émotions qui conduisent. Les comportements impulsifs constituent une forte facette (victime d'impulsivité, victime d'actions "irréfléchies" ?)
- Les émotions


- Des émotions pourquoi ?

- Impulsivité, danger !


- "Sans" raison


- Oscillation d'humeur


- Pulsion

Les personnes avec un trouble de la personnalité borderline ont une tendance biologique (?) à réagir plus intensément que les autres à des niveaux de stress moindres d’une part, et à mettre plus de temps pour se rétablir, d’autre part. Ils ont des « pic » émotionnels plus élevés pour de faibles provocations et prennent plus de temps pour récupérer. - Interviews de patients
Les patients souffrent énormément de cet état de fait, ils sont pleinement conscients de leurs problèmes (de leurs "différences") même s'ils sont dans l'incapacité de l'expliquer et encore moins d'y remédier, que ceux-ci expriment ou pas cette souffrance. 
(une personne qui a des stratégies de camouflage est consciente de son problème)
- La vie non vécue

- Je ne suis pas la seule


- Seule dans la nuit, pleurant


- Souffrance
Les patients sont handicapés dans leur relations, dans l'incapacité d'avoir des rapports humains "normaux" et donnent parfois l'apparence trompeuse de ne pas ressentir l'éventail des émotions humaines. En fait ce serait plutôt qu'ils les ressentent trop. - Compassion
La rage, la colère inadaptée, la colère incontrolable ou les larmes, la perte de controle,sont des comportements commun à tous les Borderline, tout au long de l'échelle. Le patient peut en l'espace d'une seconde passer de l'état d'"ange" à l'état de "monstre" apparemment sans coeur et sans état d'âme. Absence de controle des émotions. - Je suis une méchante

- DJekyll & Mr.Hyde


- Colère


- Larmes et pleures
Leur vie n'est bien souvent qu’angoisse et parfois même peur panique
Entre l’échec, la souffrance et l’inconnu, par moment, ils choisissent l’échec et le renoncement.
Ils ont souvent des problèmes de concentration, ils peuvent bien sur "fonctionner" tout à fait normalement mais sous stress, ce qui les épuise
- Je suis toujours angoissée

- Panique


- Renoncement


- Insomnie


- Je pars dans tous les sens et je "fonctionne" sous stress
Ils souffrent de dysphorie., période durant laquelle ils sont "négatifs", avec des sentiments désagréables mais aussi des sentiments chroniques de vide, de solitude mais aussi de décompensation
Ce sont des patients généralement capables de maîtriser leur flux émotionnel "quand il le faut", de façon à ne jamais aller en institution psychiatrique.

- Témoignages dysphorie


- Témoignages euphorie


- Seul dans la nuit, pleurant


- Heureuse, malheureuse


- Pas face à tous

- Cycle prémenstruel, dysphorie


- Traits à l'adolescence


- Hygiène et eau (données)


- Dysphorie
  (contraire de l'euphorie)


- Décompensation

Ils sont terrifiés à l’idée d’être abandonnés mais sont en même temps incapables d’empêcher leur maladie de détruire leurs relations. - Perdu l'homme que j'aimais
Un Borderline étant émotionnellement hypersensible, imaginez quelles peuvent êtres les conséquences pour lui d'un abandon, d'une peine de coeur.
Il semblerait que leur mode de "gestion" face à l'abandon soit très différent selon les malades
- Certains seront souvent très seuls, sans doute parce qu'ils cherchent à se mettre à l'abri de leurs émotions. "Meilleur" moyen de n'être jamais abandonné
- D'autres auront un cocon qui sera par exemple un conjoint ou ses parents
- Et d'autres navigueront en permanence d'un partenaire à l'autre pour avoir le sentiment de ne jamais être abandonné. Sans doute qu'ils provoquent l'abandon pour ne pas être quittés
- Face à l'abandon

- Seul dans la nuit, pleurant

- Je me mets à l'abri
Le patient ne s'aime pas et ne peut pas faire confiance à autrui. Une patiente déclarait "je ne pouvais pas croire qu'il m'aimait assez, et je ne pouvais pas lui faire confiance si il m'aimait trop.". Il y a chez eux une grande ambivalence, amour / haine
Ils sont souvent sur la défensive et "fonctionnent" au 1er degré et ce jusqu'à la paranoia
- Je fonctionne au 1er degré
- Paranoia, refus responsabilité
- Entre amour et haine
- Croire et confiance
- M'aime t'elle ou pas ?
- Je me suis toujours détesté
- Clivage. Tout bon tout mauvais
- Contradictoire ?
Parmi les questions que se pose un patient Borderline "Qui suis-je, qu'est-ce qui ne va pas chez moi, pourquoi suis-je toujours seul(e), pourquoi personne ne s'inquiète, pourquoi personne ne me comprend, pourquoi personne ne m'aime, pourquoi m'aimerait-on moi" - Emophane

- M'aimer, moi ?!

- Seul, qui suis-je ?
Certains patients Borderline oscillent entre un comportement d'adulte et un comportement d'enfant perturbé (dissociation ?), ils ont un mode de pensée noir et blanc. X ou Y est "tout bon" ou "tout mauvais" sans nuances - Libre arbitre vers l'adulte ?

- Dissociation


- Clivage. Pensée N&B

- Syndrome de Peter-Pan
Les patients souffrent souvent de désorganisation et sont capables de se noyer dans 
un verre d'eau. Il y a souvent la meme "pagaille" dans leur quotidien que dans leur tête. (certains camouflent cette peur par une surorganisation "précaire")
- Noyée dans un verre d'eau
L'on ne devient pas borderline à l'âge adulte même si c'est à cet age là que les symptomes peuvent devenir aigus. La maladie puise ses racines dans la toute petite enfance avec une construction de la personnalité de l'enfant entravée par des facteurs externes. (symptomes proches du trouble de stress post traumatique qui lui peut se produire à l'age adulte) - Faq: comment ?

- Etudes cliniques


- Stress post traumatique
Cette maladie est "bizarre" car elle repose aussi sur des bases biologiques et des prédispositions génétiques. Les patients ont des déficiences chimiques. La vision et la mémoire sont altérés.Des crises d'epilepsie, des traumatismes craniens, des abus durant l'enfance, des maladies durant l'enfance ou tout simplement la génétique pourraient être un des facteurs déclenchant de cette maladie - Etudes cliniques

- Mémoire, vision


- Epilepsie et borderline ?


- De mère en fille ?


- Médication


- Somatisation

- Epilepsie

Il ressort aussi que le patient ne peut pas guérir seul. Ce n'est pas qu'une question de volonté. Cela n'est pas possible sans médicaments et une thérapie adaptée. Le soutien moral est indispensable, surtout lorsque l'on sait que le suicide est aussi une caractéristique commune et importante de ce trouble borderline état limite - J'ai peur des médicaments

- Le suicide impulsif


- Médicaments


- Thérapie

- Suicide (données)


- MariIyn monroe

On guérit de ce trouble dans le sens où tous les symptomes peuvent disparaitre. Cela mérite d'être cité, car ce n'est pas le cas de tous les troubles de la personnalité et encore moins de toutes les maladies mentales. Le traitement reposant sur des médicaments adaptés (ex antidepresseur prozac) mais aussi une thérapie adaptée pour rééduquer le cerveau qui était malade
(En France seul un médecin psychiatre a le droit de prescrire des médicaments et de conduire une thérapie)
- Mythes

- Guérison ?


- Guérison ? (2)


- Souffrance et délivrance

- Médication


- Antidepresseurs


- Thérapie


- Hospitalisation


- Qui consulter

L'adulte qui va bien chez le patient Borderline est généralement "passager", une facade, un rôle, un leurre. Beaucoup de malades et de proches pensent que pour avoir une communication réelle avec le patient Borderline, il faut parler à l'enfant qui est en lui et non à l'adulte.
Cela sans tomber dans l'erreur de le prendre pour un "simplet", ce qu'il n'est pas. 
C'est son trouble qui le fait se comporter ainsi PAS sa "nature"
- L'adulte qui n'existe pas ?
 
- Libre arbitre, devenir "adulte"
 
- Pas face à tous
Il ressort aussi que les patients Borderline sont plutot des personnes intelligentes même si bien souvent elles se prennent pour des "débiles mentaux" même malgré leur diplôme supérieur.
Ils ont souvent une très mauvaise estime d'eux-mêmes (que cela soit dit ou pas)
On peut dire qu'il ne s'aime pas
- Interviews de patients
Pas "un" mais "des"
Il existe tout un éventail de patients Borderline. Il y a les "fonctionnant maxi" et les "fonctionnant mini".
  • Les "fonctionnant maxi" sont capable de tromper leur monde, car de l'extérieur, rien ne semble indiquer qu'ils souffrent du trouble. Les "maxi" peuvent même avoir une famille, des enfants, des loisirs, un travail gratifiant, ...
  • Les "fonctionnant mini", à l'autre bout de l'échelle sont incapables de maitriser leur pulsions. Le suicide et l'auto mutilation sont fréquents comme des conduites dangereuses ou pour "se faire du mal pour arrêter de souffrir"
L'instabilité dans le travail peut être présente ou pas chez les "fonctionnant maxi" alors que c'est fréquemment présent chez les "fonctionnant mini"
Les conduites pour cesser d'avoir mal peuvent être: Abus de substances, Alcool, Anorexie, Auto-mutilation, Boulimie, Conduite dangereuse, Dépenses excessives, Toxicomanie, drogue, Jeu, Suicide, Sexe à risque, Violence domestique,... Ne traiter "que" le comportement est alors peine perdue
- Traits à l'adolescence

- Signes alarmants


- Degrés dans la maladie


- Interviews de malades


- Le suicide impulsif


- Travail, chomage, réinsertion professionnelle

- Abus de substances


- Alcool


- Anoréxie


- Auto mutilation


- Boulimie


- Conduite imprudente


- Dépenses excessives


- Drogue


- Jeu compulsif


- Sexe


- Suicide


- Trichotillomanie


- Violence


- Vol à l'étalage

Il existe aussi deux catégories, chaque patient appartenant plus ou moins à l'une des catégories ou les deux. Pouvant aussi selon les moments osciller de l'une vers l'autre.
  • Les "extériorisant" passent à l'acte, ils utilisent la colère dirigée vers les autres pour apaiser leur rage intérieure, pour calmer leur souffrance. Même si généralement après une manifestation de colère, ils se détestent d'être ainsi
  • Les "intériorisant" que l'on appelle aussi "les borderline silencieux" font de même mais dirigés vers eux mêmes. Ils s'auto-infligent des colères que celles-ci soient morales ou physiques. La souffrance de "l'intériorisant" est encore plus terrible et infiniment moins prise en compte car invisible pour l'entourage qui ne voit rien.

  • Le danger est lorsqu'un patient qui avait pour habitude d'extérioriser, se met petit à petit à intérioriser de plus en plus. Grace à cela "on lui fout la paix" car l'entourage peut dire "il va beaucoup mieux". Mais la souffrance réelle du patient Borderline ne va pas diminuant, bien au contraire même
- Extériorisant, intériorisant
 
- Borderline silencieuse

- Signes alarmants


- Mensonges qui arrangent


- Je suis une méchante


- Souffrance
Un malade "fonctionnant maxi" et "interiorisant" peut tromper 100% de son entourage - Degrés dans la maladie
Les  "fonctionnant maxi" reservent leur crises de colère et réactions inappropriées uniquement pour les personnes importantes de leur vie . Raison pour laquelle les NON-Borderline qui ont conscience de cela ont du mal à se faire entendre au point même d'être parfois non cruslorsqu'ils en parlent à leur famille ou leurs amis. Le patient agissant le reste du temps tout à fait normalement - Signes alarmants
Une autre caractéristique commune est le mensonge et le déni
Le patient a une grande faculté pour faire croire que tout va bien ce qui est interprété comme de la manipulation, sans doute que si ses proches avaient "vu" son état, il n'en serait pas la aujourd'hui
Il peut faire usage de campagne de dénigrement. En clair, il tente de convaincre son entourage par tous les moyens que le NON-Borderline (qui a compris), est lui le malade
Il ment, c'est une des caractéristiques communes, mais le Borderline n'est pas un menteur pathologique. Il utilise des mensonges "à bon escient", pour se protéger et non pour faire du mal
- Mensonge, données

- Je suis une menteuse

- Manipulation

- Mensonges qui font bien l'affaire de tout le monde

- Pas face à tous

- Refus d'aide, refus vérité

- Non ! il / elle est gaie

- Vous dites n'importe quoi

- Je ne suis pas Borderline !

- Déni

- BP Distortion campaign

Le NON-Borderline a tendance aussi à mentir pour justement limiter les crises de colère du patient Borderline. 
Bien évidement c'est le pire des "cadeaux" à lui faire, cela ne l'aide en rien à surmonter son problème ni à se prendre en charge. Le non ment aussi pour ne pas ouvrir les yeux sur la réalité
- Mensonges des "non-"

- Mensonges qui font bien l'affaire de tout le monde

- Comment lui dire ?

- Contagieux ?


- Condamné à avoir tort ?
Les patients Borderline n'ont pas à avoir honte, il est dans leur intéret de le dire à leur entourage, leur parents, leur famille.
il n'y a strictement rien d'honteux à être malade. Avez-vous honte de votre grippe ou de votre cancer ? Leurs comportements sont grandement le fruit de leur maladie

- Honte, ridicule, moquerie


- "Ils sont insupportables"


- De ma faute ?


- Lady Di Marilyn


- Comment l'annoncer, exister ?


- 2 parents c'est mieux


- Gagné grace au patient
Ils ne doivent pas être blamés. Ils ne sont pas "méchants", "sans coeur", "egocentriques", ils n'ont pas un "sale caractère", sous entendre que "s'ils ne font pas, c'est qu'il ne veulent pas" est à la fois totalement faux et méchant dès lors que l'on connait les causes de leurs comportements. Ils ont besoin d'empathie et de compassion. Aussi bien eux que leur entourage sont les victimes d'une maladie extremement pénible - Ne doit pas être blamé

- Traitée en humaine


- Je suis une méchante

- Compassion


- Empathie

Une personne souffrant de trouble de la personnalité borderline a aussi de nombreuses qualités même si son trouble peut les empêcher de s'exprimer. J'appelle cette vision positive, être "émophane"TM - Emophane
Inutile de se focaliser sur les raisons du pourquoi du comment, se dire "c'est de ma faute" est à la fois sans intéret mais aussi faux. Ce qui compte c'est soutenir et aider la personne qui souffre du trouble borderline état limite à se soigner pour qu'elle cesse de souffrir et qu'elle guérisse. Lorsque le traitement leur vient en aide, le patient, le médecin (le thérapeute) et les proches réalisent tous que cela valait la peine d’aller jusqu’au bout. - De ma faute ?

- Médication


- Thérapie


- Qui consulter


- En parler à son psy


- Coût du non traitement


- Le borderline a de la chance
En savoir plus - Films

- Livres


- Echelles d'évaluation


- Interviews de borderlines


- Interviews de proches


- Interviews de spécialistes


- Les enfants indigo
Page d'explication mais pour les plus jeunes
Questions / Réponses simples - Faq
Vous voulez réagir, témoigner, vous approuvez ou au contraire vous n'êtes pas d'accord ? 
- Suis-je borderline ?

- Réagir, contact
.Vous pouvez aussi commander notre ouvrage sur le trouble borderline disponible.







Si vous pensez que certaines affirmations sur la personnalité limite sont erronées, que certains éléments importants pour la comprehension du trouble TPL - BPD auraient été omis, n'hésitez pas à nous contacter


Page trouble de la personnalité borderline / test



(*) Cette synthèse est la synthèse de l'association - Tout ce que nous citons a été dit par des spécialistes reconnus ou des patients - Vous pouvez consulter les références utilisées (PDF) - Par essence un résumé, une synthèse ne peut être que réducteur mais cela aide à comprendre. Chaque être humain est unique et un malade souffrant d'un trouble de la personalité borderline n'échappe pas à cette règle. C'est pourquoi certains se reconnaitront dans certaines définitions et certains autres dans d'autres... Si vous désirez donner votre point de vue, n'hésitez pas à nous contacter ou remplir nos questionnaires



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Mise en garde:
Toutes les informations présentes sur ce site sont dans le but d'aider à comprendre un trouble pour le moins "particulier" et déroutant.
Mais aussi et surtout à soutenir les personnes qui souffrent, malades ou proches. En tous les cas, il est INDISPENSABLE d'avoir recours à un médecin psychiatre et ou psychothérapeute spécialiste de la maladie pour confirmer ou infirmer un diagnostic
Rappelons que seul un médecin (en France et de nombreux pays) peut délivrer des médicaments et qu'ils peuvent etre indispensables dans certaines situations.

Attention ne jamais interrompre un traitement sans en parler à son médecin

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Dernière mise à jour 2020.