Formulaire d'accord de principe pour être témoin dans une émission, dans les médias...
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Préambule :
Il est un fait que les médias, notamment la télévision, ne sont pas du genre à prévenir des semaines à l'avance pour le tournage d'une émission...
C'est pourquoi je vous propose de réfléchir calmement au problème et à l'avance afin que si une situation se présente nous soyons prêt à réagir très vite.
Personne ne sait ce que sera demain et ce n'est pas parce que vous décideriez de vous inscrire aujourd'hui dans cette liste que le moment venu vous n'auriez pas changé d'avis. Inversement, il serait sans intéret de vous inscrire si vous saviez pertinemment que la chose ne pourrait pas se faire

Ces réponses nous permettront de disposer de "profils" mais aussi de ce que vous êtes prêts à accepter afin de pouvoir "coller" le plus possible à ce que recherchent les médias en fonction du type d'émissions

Pourquoi témoigner au grand jour ?
Je pense qu'il vous faut dissocier 2 aspects:
- l'aspect personnel
- l'aspect "cause"

- Pour l'aspect personnel, vous devez peser le pour et le contre.
Les réactions de vos proches, de vos amis, de votre famille, de vos collègues, de votre employeur,...
Par rapport à vous-même, le fait d'avoir une victoire sur vous, une affirmation de votre caractère, le fait d'exister, d'accomplir une bonne action...
Gardez en tête que la décision vous appartient, que ce n'est pas à nous de vous "forcer" en vous disant de foncer ou à votre thérapeute ou un entourage de vous en empêcher en vous disant "tu vas aller à l'abattoir"

- Pour l'aspect "cause", le trouble de la personnalité borderline n'existera JAMAIS, tant que les personnes qui souffrent ne crieront pas sur les toits "je suis borderline". Vous êtes peut-être comme nous tous à critiquer le coté racoleur de certaines émissions de TV mais c'est bien "facile" quand l'on songe que les personnes les plus "sobres" refusent catégoriquement de témoigner. Si demain le trouble de la personnalité borderline se résume auprès du public à des personnes qui boivent, se droguent, s'automutilent, se suicident et passent leur vie en institution, ce ne sera pas les médias qu'il faudra blâmer...

Tout ceci étant plus facile à dire qu'à faire, j'en conviens

Merci de remplir le maximum de rubriques.