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Santé mentale, éthique, déontologie, liberté et Internet.
Des limites de
l'anonymat sur Internet ?
De la
légitimité des auteurs de sites psychologiques sur Internet ?
Introduction
Internet est un espace de liberté et le risque inhérent à toute liberté est qu'elle puisse conduire à tuer la liberté ce qui serait dramatique.Des limites de l'anonymat sur Internet ?
Le slogan de Mai 68, "il est interdit d'interdire", est par essence liberticide car il ne peut y avoir de liberté sans cadres.
Et pour en rester à des citations classiques, je vous dirai que "la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres".
Bien sûr, je peux vouloir être libre de dire ce que je veux, aucun problème ! Par contre si ce que me dit l'autre me cause du tort et ce, sans qu’il risque quoi que ce soit, alors je ne parle plus de liberté mais d'anarchie.
Un autre point qui mérite réflexion est l'usage de l'anonymat : "puis-je tout dire en me protégeant derrière un anonymat ?" ou cet anonymat peut-il être liberticide...
Des
limites de l'anonymat sur Internet ?
L'anonymat qui "emprisonne":
L'expression
"virtuelle" (sur le Net) considérée comme outil, comme
passage vers... ne peut qu'être positive car il est important de
pouvoir libérer la parole...
Mais là où cette
expression peut devenir néfaste, c'est lorsqu'elle joue alors le
rôle de cocon.
Ainsi, au lieu de
me libérer, au lieu de me donner de gagner en "unité", cet
espace
de liberté anonyme où je m'exprime sans crainte ni contraintes,
peut devenir un deuxième moi et une prison.
Il peut y avoir le moi de la vraie vie, du monde réel dans lequel
je suis acteur (je montre un moi qui est le plus "normal"
possible) et le moi du monde virtuel dans lequel je suis plus
authentique (je montre un moi qui est plus "pathologique" et moins
en adéquation avec ce que la société peut attendre de moi)
Je
peux ainsi risquer de m'enfermer de plus en plus dans un cocon
et fuir de plus en plus la vraie vie, celle où l'on est amené à
assumer ses propos et ses actions (ce qui ne se produit
pas dans l'anonymat).
L'anonymat "négatif" et
liberticide:
Sous
couvert d'anonymat, il est facile d'être un bourreau ou un
héros.
Certaines
personnes sans courage utilisent l'anonymat pour régler leurs
comptes, pour exposer leur VERITE, pour encenser ou au contraire
pour juger et condamner.
Nous
parlons ici de psychopathologies (et il se trouve qu'une
psychothérapie a divers objectifs dont la connaissance de soi,
le fait de gagner en autonomie, en libre arbitre, mais aussi en
responsabilisation) !
Apprendre
à s'assumer en tant que soi et aussi faire des choix que l'on
assumera (le contraire étant de se positionner éternellement en
victime).
En
ce sens, l'anonymat peut devenir totalement autodestructeur dans
les cas où l'anonymat m'autorise l'irresponsabilité la plus
totale.
Je
peux porter une personne au pinacle ou détruire sa réputation
sans avoir à assumer la moindre responsabilité car "JE SUIS
ANONYME" !
Peut-on
parler encore de liberté d'expression, alors même que l'on
s'arroge un tel pouvoir sans avoir à subir la moindre
conséquence de ses actes ?
Trouveriez-vous
sain
ou moral que les forces de l'ordre et juges puissent appréhender
ou juger en restant anonymes sans avoir à répondre de leurs
actes ?
Et
bien c'est pourtant cette "liberté" que réclament certains
intervenants sur Internet !
Plus
grave encore, cet anonymat est présent chez certains
webmasters (gestionnaires, responsables de sites) de sites
médicaux ou psychologiques. En clair, il existe des sites psys
où nous ne connaissons pas même le nom de l'auteur qui exprime
une opinion ou qui rédige le site.
Nous
ne disons (absolument) pas que les propos tenus sur ces
sites internet sont nécessairement faux ou dangereux mais qu'il
n'est pas possible d'exercer le moindre contrôle ou
contre-pouvoir.
Cet anonymat est aussi présent
chez des "modérateurs" de forum psys sur Internet.
Pour
celles et ceux qui l'ignorent, rappelons que le modérateur sur
un forum veille au bon déroulement des discussions et sanctionne
/ corrige / amende le contenu de messages qui pourraient se
révéler hors sujets, dangereux, insultants, illégaux, etc.
Le
modérateur a donc tout pouvoir de jugement et de "condamnation",
en décidant ce qui peut être lu et ce qui ne peut pas l'être.
Sur certains forums, il a même la possibilité de modifier le
contenu des textes postés sans que l'auteur puisse donner son
véto.
Nous
trouvons aussi sur Internet des médecins qui se "cachent"
derrière un anonymat comme si ce qu'ils avaient à dire ne
pouvait être dit ouvertement au grand jour.
Certains
s'expriment sous des pseudos (surnoms) en cachant le fait qu'ils
sont médecins tandis que d'autres, bien qu'anonymes,
précisent dans leurs écrits qu'ils sont médecins (cela
donne du poids à leur intervention) alors même que le lecteur
n'a strictement aucun moyen de vérifier la véracité ou la source
(l'auteur) de l'affirmation.
Autre
pratique existante sur Internet, sous le couvert de l'anonymat:
Certains médecins utilisent aussi leurs patients (anonymes) pour
faire passer un message (public). C'est ainsi que nous pouvons
lire parfois sur des forums des phrases comme "Mon médecin,
à qui je fais une totale confiance, m'a dit que...", et
bien entendu sans que le nom du médecin ou de l'auteur ne soit
cité... ni même la possibilité d'être certain que le médecin en
question a fait cette citation ou pas.
Pour
résumer, nous pensons qu'il est bénéfique et éthique que les
personnes qui interviennent sur le Net en parlant d'elles-mêmes
puissent bénéficier d'un anonymat garanti si elles le désirent
(autant que faire se peut).
Mais
nous pensons qu'il est malsain et dangereux d'autoriser ce même
anonymat lorsqu'il s'agit de parler des autres, voire de les
juger, de les condamner en ligne ou de donner une opinion sur des
traitements, maladies… !
Cette dangerosité
et cette malhonnêteté étant décuplée dans le cas de personnes qui
disposent d'un "pouvoir" (webmasters responsables de sites,
modérateurs de forum, etc.)
Une règle d'or devrait être:
Ceci pour dire
que nous sommes dans un domaine où la
moindre petite phrase, même d'apparence anodine, peut avoir
des retentissements considérables.
Certaines
personnes auront tôt fait d'interpréter, d'exprimer des réactions
émotionnelles fortes… et ce d'autant plus que l'écrit (qui
transmet assez difficilement l'émotion) peut être source de
nombreux quiproquos (ce qui se voulait "gentil" pourra par exemple
être interprété comme jugement de valeur ou agression).
Il existe
plusieurs stratégies possibles pour "gérer" un forum psy, étant
entendu que l'on peut aussi user d'un peu de chaque stratégie…
Parmi ces
stratégies nous trouvons:
- La
stratégie de la victimisation et du "tout le monde s'aime".
Avec cette
stratégie, la modération est assez simple. Il
suffit d'inonder le forum d'amour, de dire à chaque
intervenant qu'on l'aime, qu'il n'a pas de chance, qu'il est
une pauvre victime, qu'il y a "plein de
méchants partout", puis d'ajouter: "tu verras, demain ce sera
vachement mieux" !
Sur ce type de
forum, on fera en sorte d'éviter les controverses, on essaiera de
dire qu'il n'existe aucune vérité et que tout le monde a raison.
Lundi on répondra "vous avez raison" à une personne qui dit
"blanc" et le mardi " vous avez raison" à une personne qui dit le
contraire, "noir".
Il est bien
entendu que cette "modération", quand bien même elle est
"confortable", demeure extrêmement néfaste, positionne
l'interlocuteur en victime ou peut entretenir un statut de victime
chez des personnes en souffrance.
- La
stratégie du non-conflit, du "tuons la moindre opposition"
Avec cette
stratégie, la modération demeure aussi assez simple. Au moindre message à consonance négative ou
d'apparence négative, il suffit alors de supprimer le
message et d'exclure l'intervenant.
Intervenant qui n'ayant plus la parole sur le forum ne sera plus
en mesure de "gâcher" une ambiance ô combien "chaleureuse".
Il est bien
entendu que cette "modération" s'apparente plus à une dictature
est qu'elle est aussi néfaste, car présentant une image plutôt
idyllique du monde psychopathologique (sans violence verbale),
ce qui n'est pas le cas.
- La
stratégie de la démission, du "dites tout ce que vous
voulez, du moment que les morts ne sont pas visibles"
Avec cette
stratégie, la modération demeure
extrêmement simple dans le sens où il n'y a pas de
modération. C'est uniquement lorsqu'un
utilisateur exprime une plainte sur des comportements
inacceptables que le "modérateur" supprime alors généralement un
fil de discussion complet (c'est plus simple que de faire le
tri).
Il est bien
entendu que cette "modération" ne fait que nourrir des
comportements pathologiques et peut conduire à renforcer la
symptomatique du patient.
- La
stratégie du coup par coup, du "attention, je veille"
Avec cette
stratégie, la modération demeure extrêmement complexe dans le sens
où les intervenants peuvent s'exprimer de façon positive ou
négative. Quand ils franchissent une
limite, ils reçoivent un avertissement leur expliquant
que "attention, ce type de propos pourrait être mal
interprété ou dangereux". Ce type de modération se veut,
autant que possible, "formatrice" et encadrante.
Les inconvénients
sont nombreux pour le(s) modérateur(s). Il doit suivre
attentivement chacune des discussions, détecter les changements de
ton et risques d'emballement, sanctionner tout en ne réservant la
censure ou l'exclusion qu'à des situations extrêmes.
Dans ce type de
modération, il est évident qu'il arrive bien souvent que le coup
de ciseau soit perçu comme censure et que le modérateur se
retrouve avec une casquette de "méchant" et de censeur.
Cependant, ce
type de modération présente l'avantage de permettre à des
personnes en souffrance de pouvoir mettre le doigt sur certains de
leurs comportements, mettre par exemple le doigt sur des
distorsions cognitives (fausses croyances)… Ce type de
modération cherche aussi à gommer au maximum les conseils du type
"tu devrais faire cela", "tu devrais rester", "tu devrais le
quitter", etc. qui sont des freins à "l'autonomisation".
Bref, une
modération de ce type n'est pas toujours de tout repos, d'autant
plus qu'elle se veut constructive et ce, dans le plus grand
respect de chacun (respecter l'autre pouvant amener à mettre en
place des limites et un cadre).
.
Le raisonnable voudrait que:
"Un non
professionnel peut-il modérer un forum psy" ?
Le
pouvoir ? Oui sans doute mais pour quel résultat... c'est plutôt
compliqué à mesurer.
Si
l'on reprend les 3 premiers types de "modération" évoqués dans
le point précédent, alors il est à la portée de tout le monde de
les pratiquer. Mais nous pensons qu'il serait abusif,
d'utiliser, dans ces cas, le mot "modération".
Alors,
un non-professionnel peut-il pratiquer une modération du type
"attention je veille" sur un forum Internet ?
Cela
semble pour le moins délicat, les troubles psychopathologiques
entraînent des réactions qui semblent bizarres, voire illogiques
ou disproportionnées pour le commun des mortels.
Si
vous ne savez pas que vous avez à faire à une personne qui est
sensible à certains types de remarques ou de situations
(notamment du fait de sa pathologie), alors il est probable que
vous ne serez pas suffisamment attentif à certains propos
d'apparence "anodine", alors mêmes qu'ils sont capables de
déclencher chez cette personne des réactions en chaîne.
Pour
parler du trouble borderline, ce trouble est un trouble de
l'émotion. Un simple "sais-tu s'il reste du pain à la maison
?" peut déclencher une réaction émotionnelle extrêmement forte
chez le conjoint "borderline" qui l'entendrait. C'est dire
que n'importe quelle situation d'apparence "anodine" peut
entraîner des "cataclysmes".
Le
forum psy qui est de fait un "concentré de souffrance", peut
amplifier le phénomène décrit précédemment, en raison de
plusieurs facteurs dont l'effet de masse (foule) et le couvert
de la protection qu’apportent le virtuel et l'anonymat.
Il
est bien évident que plus le modérateur sera étranger à ce
monde psy, et plus il risque bien involontairement de
passer à coté d'un besoin de modération, voir même de provoquer
lui-même sans le vouloir des catastrophes... de toute
bonne foi.
Mais
est-ce bon pour les participants qu'une personne souffrant de
trouble psy se charge de la modération ?
Il
est d'abord difficile d'être juge et partie, pas obligatoirement
impossible, mais difficile.
Si
en tant que modérateur, je parle de mes souffrances, que je me
positionne du côté des personnes en souffrance, alors cela
devrait compliquer mes rapports avec autrui si je suis aussi
celui qui censure les propos d'autres participants. Il semble
évident que si je suis dans une discussion avec autrui en tant
que personne en souffrance, alors je ne vais probablement pas
censurer mes propres propos.
L'autre
problème, de taille, c'est que je risque aussi de réagir là où
il ne serait pas nécessaire de réagir et de ne pas réagir là où
c’est le contraire qui serait nécessaire.
Pourquoi
? Tout simplement parce que mes troubles peuvent fortement
influencer ma perception des événements et leur interprétation.
Si
je souffre par exemple d'un trouble de la personnalité
borderline qui est un trouble de l'émotion, alors mes
réactions seront parfois guidées par mes émotions (croyances
et schémas de pensée rigides) et mon intervention n'aura
probablement plus rien d'une saine modération.
Certains
propos peuvent en effet avoir une résonance douloureuse dans ma
tête qui fera que j'aurai alors une sorte "d'obligation" de
censurer leurs auteurs ou de réagir assez violemment contre eux,
alors même que ces propos n'auraient choqué personne d'autre (et
le contraire est tout aussi vrai, ne pas percevoir comme
dangereux ce qui apparaîtrait comme tel aux yeux des autres).
Est-ce
bon pour le modérateur lui-même ?
Restons dans le
domaine du trouble borderline. Ce trouble se traduit par une
carence narcissique que l'on pourrait traduire par: "je suis en
quête d'amour des autres parce que je pense au fond de moi que je
n'ai pas de valeur et que j'ai besoin de
cet amour pour (sur)vivre".
Aller
mieux, c'est notamment apprendre à percevoir rationnellement sa
propre valeur. Et c'est là que la modération d'un forum peut
totalement fausser la vision que j'ai de moi-même.
Je
peux me positionner comme "celui qui est là pour les autres,
qui soutient, qui rassure et qui conseille (ce qui n'est
pas pour pour le malade: les "tu devrais" ne rendent pas
service à la personne), celui qui a des idées sur tout".
Lorsque j'agis ainsi, les participants au forum vont
probablement me percevoir comme "la personne idéale, pleine
de qualités, toujours prête à donner". Je risque ainsi me
fabriquer une sorte de "clientèle captive et renouvelable à
l'infini" qui sera là, juste pour me répéter que je suis
quelqu'un de bien et me donner plein d'amour, alors même que si
j'étais dans la vraie vie, je ne recevrais pas le dixième de
ces compliments.
Le
problème est que je peux finir par croire tout cela: ce faisant,
je ne m’inscrirai absolument plus dans une démarche personnelle
pour sortir de mon trouble et ma raison de vivre, ma propre
valeur, pourraient devenir la valeur que j'ai en "modérant" le
forum.
Un
autre point dangereux peut consister à me fragiliser encore
plus.
En
tant que modérateur (sérieux), je suis celui qui doit parfois
censurer ou sanctionner… On peut dès lors me faire nombre de
reproches et même des reproches dans lesquels l'interlocuteur
cherchera à me blesser (mécanisme de défense lorsque l'on ne
dispose pas d'arguments objectifs). Vais-je être suffisamment
fort pour prendre du recul ou bien ces coups vont-ils finir par
m'user ? (Une des raisons pour lesquelles les "modérateurs
pathologiques" opteront logiquement plus pour une modération du
type "tout le monde s'aime" afin d'être eux-mêmes les principaux
"bénéficiaires" de leur modération).
Citons
par exemple (ex. non représentatif ni exhaustif) des sites
psychologiques où la modération est assurée par des personnes en
prise avec des troubles psychopathologiques avérés et énoncés
par les "modérateurs" eux-mêmes.
A
ce titre, un webmaster déclarait en 2OO2 "...la modération
expose beaucoup le modérateur, qui peut être violemment critiqué
et agressé. Je ne suis pas sûr qu'un schizophrène puisse avoir
la sérénité nécessaire pour résister aux aléas de cette mission"
(Nous ne sommes certainement pas en train d'affirmer que les personnes en souffrance ne peuvent pas aider mais que certaines tâches comme la modération sont délicates et souvent psychologiquement épuisantes).
Le raisonnable voudrait que:
-
Qui est l'auteur (les) ,le gestionnaire du site
? (Qu'est ce que l'auteur fait dans la vie, qu'a t-il fait,
quelle est son expérience dans le domaine dont il parle) ? (Et
comment croire ce qui ne serait pas signé ?)
-
Trouve-t-on les coordonnées postales pour écrire à l'auteur
(et/ou aux responsables) du site ?
-
L'auteur se présente t-il comme "professionnel" ou
comme "particulier/malade" ? (S'il se positionne en
"malade" alors limite-t-il le contenu de son site à son vécu et
à des sources professionnelles sans fournir une opinion de
"spécialiste" ?)
-
L'auteur parle-t-il en son nom propre et/ou au nom
d'une organisation dont il serait un représentant légal
qui lui concèderait une légitimité et laquelle ?
(professionnelle, associative, etc)
-
Dans le cas où il agirait de la sorte, l'auteur dispose
t'il à priori d'une légitimité/connaissance pour s'ériger en
"arbitre" ? (Par exemple en arguant de la compétence ou de
l'incompétence de tel ou tel, ou en définissant un prérequis à
l'exercice de telle ou telle activité)
-
L'auteur a-t-il des conflits d’intérêt par exemple avec les
labos pharmaceutiques ?
-
Les objectifs du site sont-ils identifiés ? (Et
stables dans le temps)
-
Les sources sont-elles précisées ? (Sont elles
variées, de plusieurs origines, ces sources ont-elles une
légitimité, sont-elles issues de publications dans des revues
scientifiques, sont-elles rédigées par des professionnels
reconnus, ont-elles fait l'objet d'études en aveugle, etc.)
-
L'information est-elle présente dans la durée ?
(Et non changeante au gré du vent comme une girouette: ceci
étant de fait plus difficile à vérifier)
-
L'information semble-t-elle globalement cohérente
? (Et non constituée d'un ensembles de données qui se
contrediraient entre-elles)
Nous pensons qu'il est important de fournir
un maximum d'informations aux lecteurs pour qu'ils puissent se
forger leur propre opinion. L'objectif n'est
certainement pas d'interdire mais d'informer.
N'hésitez pas à nous contacter
Charte du droit du patient à un diagnostic (deontologie.org) | |
Code de déontologie pratique thérapeutique (AAPEL) |
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Mise en
garde:
Toutes les
informations présentes sur ce site sont dans le but d'aider à
comprendre une maladie
(le trouble de la personnalité borderline) pour le moins
"particulière" et déroutante
Mais aussi
et surtout à soutenir les personnes qui souffrent, malades ou pas.
En tous les cas, il est INDISPENSABLE d'avoir recours à un médecin
psychiatre et ou psychothérapeute spécialiste de la maladie pour confirmer ou infirmer un diagnostic
Quoiqu'il en
soit le nom d'une maladie importe peu, ce qui compte, c'est
d'appliquer le "bon" traitement à chaque malade.
Tout patient
doit consulter un médecin.
.
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Dernière mise à
jour 2020
(création 2005)
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