que ceux-ci aient été diagnostiqués ou pas
Le but étant d’avoir une vision globale de cette maladie
Votre sexe et age (pour situer)
-masculin 38
-féminin
Etes-vous (selon vous) Borderline ? (que vous soyez diagnostiqué(e) ou pas)
A)Oui, J’en suis intimement convaincu(e)
B)Oui, Ca y ressemble bien
C)Peut-être, mais j’ai encore beaucoup de doutes
D)Non car je suis guéri(e)
E)Non, et je ne l’ai jamais été(dans ce cas ce questionnaire pourrait ne pas vous concerner)
F)Je ne sais pas, pas la moindre idée
Si vous avez répondu « Oui » ou « peut-être », quel a été le déclic qui fait que notamment vous soyez en train de remplir ce formulaire ?
-Oui
-Non
-Oui
-Non
-Pas vraiment dans le sens ou je pense être plus sensible et plus à l’écoute que pas mal d’autres
Quand avez-vous pris conscience de votre « différence » ?
-Oui (que vous le soyez ou pas)
-Non(que vous le soyez ou pas)
-Je ne sais pas
En quoi vous reconnaissez-vous dans cette maladie ?
Je ne l’ai pas, mais dans la sensibilité, l’anxiété oui, par contre pas du tout dans les comportements impulsifs, les changements d’humeur, etc
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Vous sentez-vous esclave de vos émotions ?
-Oui
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette phrase ? « Les borderline ont une tendance biologique à réagir plus intensément que les autres à des niveaux de stress moindres d’une part, et à mettre plus de temps pour se rétablir, d’autre part. Ils ont des « pic » émotionnels plus élevés pour de faibles provocations et prennent plus de temps pour récupérer »
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette phrase ? « Les patients sont dans l'incapacité d'avoir des rapports humains "normaux" et donnent l'apparence de ne pas ressentir l'éventail des émotions humaines. En fait ce serait plutôt qu'ils les ressentent trop.
-Oui
-Non, hormis pour la dernière partie, mais pour laquelle je ne dirais pas que je les ressens trop mais plutôt que les autres ne les ressentent pas assez
-Pas vraiment
Avez-vous des sautes d’humeur fréquentes, intenses et imprévisibles ? (que celles ci soient dissimulées ou pas)
-Oui
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Avez-vous des colères inappropriées ? (que celles ci soient dissimulées ou pas)
-Oui
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Etes-vous du genre seul(e) ou entouré(e) d’ami(e)s, sortant souvent ?
-Oui
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Disons que lorsque l’être aimé n’est pas à vos cotés, ça fait mal
Avez-vous des moments de dysphorie (sentiment de vide, contraire de l’euphorie) et quand ?
-Oui
-Non
-De moins en moins
-De plus en plus
Disons plutôt des moments de tristesse ou de désespoir mais de vide, strictement jamais
Est ce que « ça se voit » quand vous n’allez pas fort ?
-Oui mais je ne vois aucun intérêt à faire semblant
-Non
-Pas vraiment (préciser les moments)
Avez-vous 2 vies (ou plus) ? Une vie lorsque vous êtes en société, et une autre avec des comportements très différents lorsque vous êtes seul(e) (sans "témoins") ?
-Oui
-Non
-Je ne sais pas
-Pas vraiment
Si oui, cela va t’il pour vous au point de rester seul(e), meilleur moyen de ne pas être abandonné(e) ?
Etes-vous dépendant(e) d’une personne (parent, conjoint, …) et à quel point ? (ou l'étiez-vous)
-Oui
-Non, j’ai ma pleine autonomie de pensée
-Pas vraiment
Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette phrase ? « Certains patients Borderline oscillent entre un comportement d'adulte et un comportement d'enfant perturbé, ils ont un mode de pensée noir et blanc. X ou Y est "tout bon" ou "tout mauvais" » ?
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette phrase ? « L'adulte qui va bien chez le patient Borderline est une façade, un rôle, un leurre. Pour avoir une communication réelle avec le patient, il faut parler à l'enfant qui est en lui »
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Vous reconnaissez-vous dans les mots « homme enfant » « femme enfant » ?
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette phrase ? « Les patients souffrent souvent de désorganisation et sont capables de se noyer dans un verre d'eau. Il y a souvent la même "pagaille" dans leur quotidien que dans leur tête »
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Si vous avez répondu « non » c’est à dire que vous êtes organisé(e). Cette organisation est-elle une « fausse » organisation pour masquer un manque de confiance et prévenir tout risque de « dérapage »
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Etes-vous rationnel(le) ? (votre vie n'étant pas contrôlée par des "croyances" télépathie, revenants, astrologie, 6eme sens...)
-Oui je suis rationnel(le)
-Oui je suis rationnel(le) mais j'ai quelques petits trucs "bizarres" (aux yeux des autres)
-Pas vraiment
-Non
Etes-vous plutôt « solide » ou « fragile » (répondre sur le plan santé physique et sur le plan psychique)
Moyen. Solide par rapport à ma capacité à encaisser, fragile par rapport à ma sensibilité
Vous êtes-vous posé la question – pourquoi suis-je ainsi ?
Y’a t’il un comportement, un mode de pensée, quelque chose qui vous caractérise et qui n’est pas cité dans les questions précédentes et qui selon vous à une importance sur la maladie ?
-Oui
-Non
-De plus en plus
-De moins en moins
Est-ce que vous vous aimez ?
Quand je regarde ce que je fais et mes « succès », oui
-Oui
-Non
Si oui, de quelle(s) manière(s) ? (que ce soit physiquement ou psychiquement)
Avez-vous des tendances suicidaires ?
-Oui
-Non même si la mort permet à priori de ne plus souffrir
-Plus maintenant ou moins maintenant
Etes-vous déjà passé à l’acte ?
-Oui
-Non
-Non
-De plus en plus
-De moins en moins
Votre entourage a quelle vision, image de vous ? « oh lui / elle, il / elle est …. »
Gentil, plutôt réservé.
Ceux qui me connaissent moins ou pas peuvent dire à tort que je suis borné. Mais j’appelle cela avoir le sens du bien et du mal
Est-il conscient de vos problèmes ?
-Oui
-Non
-Pas vraiment
Si oui, à quel point ?
Si non, ne serais-ce pas un secret de polichinelle ? Vous leur cachez que vous avez un problème et eux cachent qu’ils le savent ?
Leur mentez-vous sur votre état ? Etes-vous un(e) menteur(se) ?
Peut-on vous qualifier de manipulateur(-trice) ? (par exemple le fait de faire croire que vous n’avez pas de problème)
Si non, est-ce uniquement parce que personne autour de vous n’a « vu » ?
Comment sont vos proches avec vous ?
-Ils ne me protégent pas assez
-Au contraire, ils me surprotégent
-Ils me traitent d’une façon « normale » qui correspond à vos attentes
Voudriez-vous que cela change ?
-Maintenant Oui
-Non
-Pas vraiment
Si non ou pas vraiment, cela vient-il de vous ou d’entraves que vous subissez ou avez subis ?
Je n’ai pas appris cela, donc ça ne m’aide pas
Si votre réponse est « non » pourriez-vous dire pourquoi ? (sachant que cette maladie se soigne)
-J’en ai l’intention
-Non et je n’en ai pas l’intention
Avez-vous été diagnostiqué(e) et quel(s) diagnostic(s) ?
Si oui, par quel(s) catégorie(s) de médicament(s) ?
Quel bilan feriez-vous de cette médication ?
Voyez-vous un thérapeute ?
-Oui
-J’en ai l’intention
-Je n’en ai pas l’intention
Si oui, pour quel type de thérapie et depuis combien de temps
-analytique (psychanalyse)
-comportementale
-comportementale dialectique DBT
-aucune
-Autre qui n’a rien à voir (ou vous ne savez pas)
Si vous êtes en thérapie, votre thérapie vous fait-elle du bien ?
-Oui
-Non
-« bof »
Si vous êtes en thérapie, pensez-vous poursuivre la thérapie ?
-Oui
-Non
-J’hésite
Si vous comptez arrêter votre thérapie, allez-vous essayer « autre chose » ?
Etes vous heureux(se) ?
-Non
-Oui
-Je suis sur le chemin
Etes-vous « bras baissé » ou « combattant(e) » face à votre situation ?
Oui, Ca y ressemble bien
Peut-être, mais j’ai encore beaucoup de doutes
Non car je suis guéri(e)
Si vous n’avez pas répondu de la même façon à cette question qu’au début du questionnaire, pouvez-vous essayer de l’expliquer ?
Si vous avez encore des doutes que ce soit en "oui" ou en "non", que vous faudrait-il pour les faire "sauter" ?
réponses du : 28 / 03 / 2003
83 questions